Vous avez une passion pour l’Italie, et notamment pour « tous ces lieux enchanteurs voisins de Grianta ».
Comme Clélia Conti, vous avez un faible pour les oiseaux.
Quand on vous parle de la chanson Vanina, vous pensez davantage à Vanina Vanini qu’à Dave.
Vous croyez aux signes, mais êtes capable de vous dépasser, de forcer le destin pour suivre ce que vous pensez être votre chemin.
Vous pensez que les jeunes hommes sortis de Polytechnique font des héros intéressants, tels Lucien Leuwen ou Octave de Malivert dans Armance.
Vous êtes ingénu, enthousiaste, gentil, voire un brin naïf. En somme doué pour le bonheur.
Vous avez tendance à étouffer en province.
Comme Julien Sorel ou Fabrice del Dongo, vous avez un faible pour Napoléon.
Vous passez votre temps à lire, même en cachette, on peut toujours vous trouver un livre à la main.
Comme Mathilde de La Mole, vous vous construisez une légende familiale et rêvez d’une vie à la hauteur de cette légende.
Vous êtes sensible au charme des femmes veuves ou mariées comme Mme de Chasteller ou Mme de Rênal.
Vous connaissez Nancy, Grenoble, Besançon.
Vous n’avez pas le vertige.
Vous êtes ambitieux.
Devant une œuvre d’art, vous pouvez être saisi du syndrome de Stendhal.
Comme Mme de Rênal, vos enfants ont des prénoms singuliers comme « Stanislas-Xavier ».
Si vous écriviez des livres, vous prendriez un pseudonyme, comme l’a fait Henri Beyle.
En amour, vous croyez à la cristallisation, au pouvoir de l’idéalisation.
Comme Gina del Dongo, vous êtes capables de tout pour vos neveux.
Vous hésitez régulièrement entre deux voies, deux chemins, deux personnes. Vous voyez la vie en rouge et noir.
Illustration : Vue de Tivoli, Jean-Joseph-Xavier Bidauld, 1782, Musée des Beaux-Arts de Lyon
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